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Toponymie
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1113 (sous la forme Alonz). Ce toponyme s’est formé sur un nom propre germanique, Alonius, selon Ernest Nègre. Charles Rostaing et les Fénié avancent que le nom s’est formé sur la racine orographique (en rapport avec la montagne) Al- (qui entre dans la composition d’alpe). Cette racine est probablement antérieure aux Gaulois.
Le temps des gaules
Un oppidum occupait le site du Castellas à l’âge du fer. Auguste fait la conquête de la vallée du Verdon en même temps que celle des Alpes, qu’il achève en 14 av. J.-C.. Il est difficile de connaître le nom du peuple gaulois qui peuplait la vallée, et le nom de la civitas dont Allons dépendait au Haut-Empire : Eturamina (Thorame), Civitas Saliniensum (Castellane) ou Sanitensium (Senez). À la fin de l’Empire romain, le rattachement à celle de Sanitensium, et à son diocèse, semblent avérés.
Une statue de bronze datant de l’Antiquité a été retrouvée sur la commune (actuellement perdue).
Le Moyen Âge
Il est possible que la chapelle Saint-Domnin, à la Moûtière, ait été construite à l’emplacement occupé par la communauté d’Allons au Haut-Moyen Âge, en lien avec un premier monastère. Sur le versant opposé se trouvent plusieurs toponymes les Villas qui renforcent cette hypothèse. Le site de Haut-Ville, en fond de vallée, peut être contemporain.
En 1072, Pons Sylvain (Pontius Silvanus) est propriétaire du domaine et donc d’une partie importante, si ce n’est de toute la vallée. Il fait don de terres à l’abbaye Saint-Victor de Marseille, qui y établit à la fin du XIe-début du XIIe siècle, un prieuré, Saint-Martin. Le village d’Allons se crée peu après, autour d’une nouvelle église elle aussi sous la titulature de saint Martin, et le prieuré est abandonné au XIIIe siècle.
Le fief appartient d’abord aux évêques de Senez, puis à l’abbaye Saint-Victor de Marseille.
La communauté d’Allons relevait de la viguerie de Castellane. On trouve dans le village trois bâtisses connues pour avoir abrité différentes familles nobles, parmi lesquelles les de Requiston et les de Richery, coseigneurs, les Villeneuve et les d’Autane, derniers seigneurs du fief de 1757 à la Révolution française. Ces bâtisses sont assimilées à des châteaux, le plus imposant d’entre eux est celui des d’Autane implanté sur la place du même nom ; il surprend par ses dimensions importantes et son style du XVIIe siècle peu commun dans la région. Depuis la Révolution le château est partagé entre plusieurs propriétaires, et plusieurs transformations ont été effectuées notamment au niveau de la toiture. Les seigneurs les plus importants étaient les Requiston.
En 1390, Raymond de Turenne fait le siège du château de Vauclause.
L’histoire d’Allons est aussi liée à celle de Vauclause, cet éperon rocheux qui surplombe l’entrée dans la vallée de l’Ivoire. Au Moyen Âge, une communauté s’y était installée, près d’un château fort dont il ne reste que quelques pans de murs. Cette communauté comptait douze feux en 1315 et n’avait aucune église. Elle est fortement dépeuplée par la crise du XIVe siècle (Peste noire et guerre de Cent Ans) et annexée par celle d’Allons. Le fief de Vauclause était distinct de celui d’Allons, et le resta jusqu’à la Révolution. Aujourd’hui on y trouve une ferme de grandes dimensions qui fait l’objet de travaux de restauration.
· ALLONS ENRICHIT SON HISTOIRE |
Les Allonsaises et les Allonsais s’attachent à préserver, à mettre en valeur et à faire connaître son passé comme sur le site de la commune qui rassemble un grand nombre de documents souvent riches et détaillés. Mais, parfois quelques hypothèses basées sur la transmission orale se révèlent erronées suite à de nouvelles recherches historiques comme celle de M. Germain BUTAUD, maître de conférences en histoire médiévale à l’université côte d’Azur. En effet, ce dernier a effectué une étude approfondie sur le domaine de Vauclause et ses rapports avec le village médiéval d’ALLONS. Cette étude est factuelle, basée sur l’analyse des procès de l’époque ainsi que sur les archives départementales du Var à Draguignan. En bref: »L’ancien village de Vauclause » bénéficie d’une riche documentation conservée aux Archives départementales du Var dans le fonds Villeneuve-Bargemon, encore non classé. Cet article la met à profit pour retracer l’histoire de la famille seigneuriale « de Vauclause » de la fin du XIIIe siècle au milieu du XVe siècle, dont les mariages et les achats fonciers et féodaux sont en particulier étudiés. Le village se fortifia dans les années 1374-1382, ce qui ne l’empêcha pa d’être capturé en 1389 par une troupe de Tuchins. Son abandon date de la première moitié du XVe siècle. Il y fut dès lors une seigneurie de la famille Villeneuve-Bargemon jusqu’à la Révolution. Christophe de Villeneuve (1716-1800) en a écrit l’histoire à partir de ses archives et en a laissé une description détaillée. Cette étude vient d’être publiée et apporte un nouvel éclairage sur notre village. |
De la fin du Moyen Âge à la Révolution Française
En 1745, les habitants se révoltent contre une demande de l’évêque de Senez, qui fait enlever le buste de saint Domnin, patron de l’église paroissiale mais dont le culte est jugé dépassé, voire trop proche de rites païens. La résistance villageoise provoque un déplacement de l’évêque, Mgr de Vocance, qui est bousculé, ses vêtements déchirés. Devant la menace d’intervention militaire, les habitants font mine de céder, mais en fait cachent le buste et continuent leurs dévotions.
Depuis la Révolution Française
Il y avait deux moulins dans la commune, sur le Verdon et sur l’Ivoire aux abords du village.
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1838 que le cadastre dit napoléonien d’Allons est achevé.
Comme de nombreuses communes du département, celle d’Allons se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, l’école installée au chef-lieu dispense une instruction primaire aux garçons. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants, ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Allons. La commune profite de la deuxième loi Duruy (1877) pour construire une école neuve, et ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles d’Allons sont régulièrement scolarisées.
Le tunnel de la Colle est achevé en 1903, et la totalité de la ligne entre Saint-André et Nice est inaugurée du 5 au 7 août 1911 en présence de Victor Augagneur, ministre des Travaux Publics.
Au XXe siècle, l’économie agricole de polyculture vivrière évolue vers une spécialisation dans la lavande, qui est transformée sur place dans trois distilleries. Le moulin du Verdon est transformé en scierie. Ces activités sont aujourd’hui abandonnées.
Une ancienne richesse d’Allons fin du 19eme début du 20eme siècle.
Etude historique de la Chapelle Saint Martin d’Allons et sa tour dite templière : entre mythe et réalité d’Alice PRADELLES historienne et médiatrice du patrimoine. Cet ouvrage a été commandé lors des travaux de rénovation du site en 2019.
Pour en savoir plus sur Allons, consulter l’ouvrage de Michel BOURBAO
Allons, une commune rurale de moyenne montagne dans le Haut-Verdon.
Et pour en savoir encore plus sur la vie des familles et des villages du moyen et haut Verdon (17eme/18eme siècle). Extraits du passionnant ouvrage de Monsieur Alain COLLOMP concernant l’évolution de l’habitat à l’époque de l’Amiral De Richery (que les lecteurs intéressés pourront trouver à la bibliothèque de St André).
Deux personnalités du village :
– Contre-amiral Joseph de RICHERY (Allons 1757 – Eoulx 1798) , issu d’une famille désargentée de la petite noblesse d’Allons.
Mousse à 9 ans, contre amiral de la flotte Française à 38 ans, ce marin exemplaire aura passé la plus grande partie de sa vie sur le pont d’un navire. Entre autres épopées, il a suivi le Bailli de SUFFREN en Inde; il exécuta plusieurs missions contre les anglais en Amérique du Nord; en Inde; à Terre-Neuve; en Irlande… Il explora la mer de Chine, les côtes du Tonkin et de la Cochinchine et dressa des plans et cartes de ces contrées lointaines et les accompagna de mémoires ou d’observations.
En cliquant sur le lien ci-dessous, vous pourrez lire un extrait du discours rédigé par le Capitaine de vaisseau Coutillard, et prononcé par lui à l’occasion de la cérémonie d’inauguration du nouveau bâtiment de la Préparation Militaire Marine des Alpes de Haute-Provence auquel le nom « amiral de Richery » a été donné le 29 Juin 2019 à Ste Tulle.
Ce texte décrit la brillante carrière du Contre-amiral Joseph de RICHERY :
– Charles Alexandre de Richery 1759 – 1830, évêque de Fréjus et ensuite archevêque d’Aix, connu pour sa grande piété et sa bienfaisance. Il est intervenu de nombreuses fois pour défendre les habitants d’Allons contre les seigneurs du village.
Quelques familles en remontant le temps sur le village
Document transmis par Solenge PELLEGRIN
Vestiges du passé
La Mairie d’Allons s’est portée acquéreuse d’une belle armoire pour présenter quelques vestiges de notre passé. Une belle meule Proto Historique y figure.
Commentaire sur la meule Proto Historique d’Allons, trouvée au Chastellas.
Cette meule à grains Proto Historique (type A) peut se ranger dans la catégorie des meules à va-et vient, supposant un mouvement linéaire et alternatif.
La meule est composée de deux éléments :
– un élément fixe (ou dormant) appelé TABLE,
– un élément mobile appelé MOLETTE.
Plus probablement de type A1, caractérisé par une table ovale de petite taille et une molette arrondie dite « de tradition néolithique ».
Apparue dés le néolithique ancien, ce type perdure en fait plus ou moins tard selon les régions (de la fin de l’âge de bronze, au moyen-âge voire au-delà).
Détails :
– Meule en grès. Il existe un affleurement de grés au Chastelas.
– Meule prélevée en 1989, mais déjà repérée bien avant, notamment par certains habitants actuels du village.
– Meule citée dans le livre de Michel BOURBAO sur Allons « Allons, une commune rurale de moyenne montagne dans le Moyen-Verdon » 226 pages.
– Extrait du livre consultable sur le site internet d’Allons : allons-alpes-haute-provence.fr
–Livre consultable au Centre de Ressources du Parc Naturel Régional du Verdon à Moustiers (centre-ressources-parcduverdon.fr)
– Proto-Histoire = période correspondant au néolithique et aux âges des métaux (âge du cuivre, du bronze, puis du fer).
Période comprise entre la préhistoire (chasseurs-cueilleurs et l’histoire de l’antiquité).
– Datation possible entre -1000 avant JC et le moyen âge.
Texte Bernard François
La meule est actuellement exposée à la mairie d’Allons (bureau de Monsieur le Maire)
Complément d’information :
« Il semblerait cependant que d’autres familles nobles furent présentes sur le terroir d’Allons, à partir de la Renaissance.
Notamment la famille DISDIER, qui a pu cohabiter avec les REQUISTON, principaux seigneurs dès le Moyen-âge.
Notons cependant que les trois châteaux d’Allons sont connus pour être ceux des Réquiston, des d’Autane et des Richery, et que rien aujourd’hui ne peut confirmer la présence à demeure de la famille DISDIER.
Louis DISDIER d’ALLONS, décédé après 1593, fut gouverneur de la ville de SERRES, dans l’actuel département des Hautes-Alpes, où il est mentionné sur une liste recensant les individus de confession protestante de cette ville.
Il est à remarquer que SERRES faisait partie, en 1298, du Comté de Provence – baillage de Sisteron, ce qui explique peut-être les origines de la dénomination « d’ALLONS » accordée plus tard aux DISDIER.
On peut supposer qu’ils n’étaient qu’occasionnellement les hôtes du village.
Le vaste terroir d’Allons ayant été, jadis, partagé entre plusieurs seigneurs, Il est possible que les DISDIER devinrent « allonsais » par mariage avec l’une de ces familles ou qu’ils acquirent de celles-ci des terres par achat, donation ou échange… A moins que ce titre ne fut qu’honorifique… «
Guerre Napoléonienne
Mme Solange PELLEGRIN, dans ses recherches historiques sur les habitants d’Allons, a prospecté la période du 1er empire. Elle livre les premières informations aux lecteurs du site de la commune. Nous la remercions vivement pour cette nouvelle page de notre histoire.
Pour ce long travail Solange a pu se référer aux sites :
-https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/
– https://www.geneanet.org/
L’histoire oscille en permanence entre le connu et l’inconnu. Le passé reste insaisissable, et c’est certainement ce qui rend l’histoire aussi passionnante.
Bien entendu il faut prendre en compte que les sources départementales et du village sont rares. Il n’en reste pas moins que ces nouvelles informations complète, pour notre commune, ce manque de données.
JM P
« A toutes les époques, les conflits militaires, quels qu’ils soient, ont laissé des traces dans les petites communes françaises.
A Allons, il suffit de lire les noms gravés sur son Monument aux Morts pour savoir qu’elle a payé un lourd tribut à 14-18. Plus loin encore dans le temps, on découvre que les guerres napoléoniennes n’ont pas épargné le village……
Le général Bonaparte prend le pouvoir lors du coup d’État du 18 Brumaire (1799) puis le 2 décembre 1804, Napoléon Bonaparte, alors Premier Consul, se fait sacré Empereur des Français à Notre Dame de Paris.
Commence alors une épopée guerrière d’une quinzaine d’années qui restera dans les mémoires et marquera à jamais l’Histoire de la France.
Les historiens évaluent plutôt les pertes Française dans une fourchette de 600 000 à 1 millions de soldats Français tués (au combat, de maladie ou de froid). Sans compter les pertes des allés de la France (plus de 200 000) et des pays « ennemis » (Italie, Russie, Prusse, Autriche, Espagne, Grande Bretagne) pour environ 1 600 000 morts.
Les grandes batailles de « l’Ogre Corse », comme l’appelaient ses ennemis, s’affichent dans nos livres d’histoire : Wagram, Marengo, Austerlitz, Eylau….et bien d’autres encore, jusqu’à la défaite finale en 1815 : Waterloo.
Les noms de ses grands maréchaux et généraux du Premier Empire : Murat, Ney, Berthier, Massena, Bernadotte, Cambronne…. ornent aujourd’hui les avenues et les rues de nos grandes villes.
Il y a aussi tous ceux qui resteront à jamais dans l’ombre de l’Empereur, ces « modestes » soldats d’une Grande Armée prête à conquérir l’Europe, partis la fleur au fusil, et dont certains ne revinrent jamais.
A Allons, ils furent au moins quatorze (1) à combattre dans les rangs impériaux. Les uns s’en retournèrent au pays et fondèrent une famille. D’autres n’auront pas cette chance, moururent jeunes, mais chacun d’entre eux appartient à notre passé et à notre histoire….
Pour ne pas les oublier :
(1) A notre connaissance
Joseph AUDIER Né le 18 février 1793 à Allons ; Décédé après 1835
Fils de Jean Baptiste AUDIER et de Claire CAUVIN Marié en 1815 avec Rose Scolastique ROUX
Arrivé au corps le 18 octobre ? 1813 Enrôlé volontaire Grade : Fusillier 6ème Régiment d’Infanterie de ligne
A déserté le 30 avril 1814 Rayé le 2 mai 1814 Matricule 11707
Etienne BERAUD Né le 20 juin 1793 à Allons Fils de Jean Antoine BERAUD et Anne ROULLAND
Arrivé au corps le 11 avril 1813 Conscrit de l’an 1813 Enrôlé volontaire Prisonnier en 1819 ??
23e régiment d’infanterie de ligne Matricule 11151
Joseph Etienne BERAUD Né le 11 février 1790 à Allons Fils de Jean BERAUD et Marie Thérèse AUDIER
42e régiment d’infanterie de ligne, Arrivé au corps le 18 mars 1809 Enrôlé volontaire
Conscrit de l’an 1810 Décédé le 12 octobre 1810 à l’âge de 20 ans, par suite de fièvre, à l’hôpital de Figuières (nom incertain) Matricule 4753
Joseph BERAUD Né le 23 septembre 1788 à Allons Fils de Etienne BERAUD et Marie Claire BONNET
Arrivé au corps peut-être en décembre 1813 Enrôlé volontaire Grade : Fusillier
6ème Régiment d’Infanterie de Ligne Passé au 2ème Régiment Etranger le 26 janvier 1814 Matricule 11804
Joseph CAUVIN Né le 8 juin 1794 Fils de Jean Antoine CAUVIN et Hélène Elizabeth DOL Marié le 4 novembre 1819 avec Marie Madeleine Gertrude PAUL
Arrivé au corps en octobre 1813 Enrôlé volontaire Grade : Fusillier 6 ème Régiment d’Infanterie de ligne Déserté le 3 mai 1814 Matricule 11753
Pierre Jean CAUVIN Fils de Joseph CAUVIN et Thérèse ? Arrivé au corps le 18 octobre 1813 Enrôlé Volontaire Grade : Fusillier 6ème Régiment d’Infanterie de ligne Rayé le 7 octobre 1814 Matricule 11752
(non trouvé sur les AD 04 – actes d’état-civil numérisés – commune d’Allons).
Joseph GIBERT Né le 1 juillet 1788 à Allons Fils de François GIBERT et Marie Catherine LAMBERT
Marié le 20 novembre 1828 avec Elizabeth BRUNET Marques :de petite vérole Arrivé au corps le 13 octobre 1813
Enrôlé volontaire Grade = Fusillier 6 ème Régiment d’Infanterie de ligne Déserté le 17 mai 1814 Matricule 11779
Benonin LEON Né le 11 avril 1792 à Allons Fils de Jean Joseph LEON et Marie Thérèse MAJASTRE
Marques particulières : petite vérole Enrôlé volontaire Arrivé au corps le 29 mars 1812
Conscrit de l’an 1812 10ème Régiment d’Infanterie de ligne Matricule 7092
Jean Joseph MARTEL
Né le 6 janvier 1785 à Allons Fils de Honoré MARTEL et Hélène PELLEGRIN
Arrivé au corps le 30 janvier 1814 Conscrit de l’an 1806 Grade : Fusillier
112ème Régiment d’Infanterie de ligne Déserté le 22 avril 1814 Matricule 13415
Joseph PAUL
Né le 22 juillet 1714 à Allons Fils de Pierre Jean PAUL et Scolastique BERAUD
Arrivé au corps en octobre 1813 Enrôlé volontaire Grade : Fusillier
6 ème Régiment d’Infanterie de ligne Déserté le 19 mai 1814 Matricule 11755
Josph PELLEGRIN Né le 30 août 1794 à Allons Fils de Jean Pierre PELLEGRIN et Rosolie (Rosalie) CAUVIN Arrivé au corps le 11 mai 1813
Enrôlé volontaire Conscrit de l’an 1814 35ème Régiment d’Infanterie de ligne
Rayé des contrôles le 16 juillet 1814 Matricule 12960
Charles François Antoine PHILIP Né le 29 octobre 1789 à Allons
Fils de Jean Baptiste PHILIP et Madeleine DON Arrivé au corps le 17 septembre 1809
Conscrit de l’an 1809 Régiment de fusiliers chasseurs A fait 1810 et 1809 en Espagne
Mort à l’hôpital de Burgos le 20 mars 1812, des suites de fièvre « Y étoit du 26 février 1812 »
Matricule 3645
Domnin PHILIP Né le 5 avril 1787 à Allons Décédé le 17 mars 1856 à l’âge de 68 ans
Fils de Jean PHILIP et Marie Thérèse LAUGIER Marié le 28 novembre 1813 avec Marie Madeleine BERAUD et le 29 octobre 1829 avec Marie Rossoline PHILIP
Arrivé au corps le 24 mars 1814 Enrôlé volontaire Conscrit de l’an 1807 A déserté le 9 mai 1814 Matricule 14775
Jean Baptiste PHILIP Né le 29 octobre 1783 à Allons Décédé le 24 juillet 1852 à l’âge de 68 ans
Fils de Joseph Etienne PHILIP et Rossoline BONNET Marié le 27 janvier 1830 avec Marie Françoise MAURIN Enrôlé volontaire Arrivé au corps le 7 février 1814
Conscrit de l’an 1809 60ème Régiment d’Infanterie de ligne A déserté le 28 avril 1814 Matricule 11523
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Une nouvelle page de la « petite histoire d’Allons
Second Empire
La lettre de 1861 et un rendez-vous manqué près d’Allons
Nous remercions Monsieur André GANTER et son site pour l’autorisation de publier cet épisode à l’occasion d’une étude d’un courrier de 1861 (Second Empire). https://verrelene.org/2018/10/25/un-rendez-vous-manque-pres-dallons/
1939 – 1945
Le site de la commune d’Allons publie volontiers une page du futur ouvrage de Monsieur Henri JOANNET (avec son accord) sur les Compagnies de Travailleurs Etrangers des Mées pendant la seconde guerre mondiale.
L’histoire oscille en permanence entre connu et l’inconnu malgré toutes les preuves écrites. Les interprétations peuvent être multiples. Chaque lecteur peut donc avoir son propre jugement et la présente publication n’engage que l’auteur que nous remercions pour sa contribution à nos recherches historiques.
L’assassinat de Ramon Lopez à Allons durant la seconde guerre mondiale.
Archives insolites de notre histoire d’ALLONS
Description historique
En 1838, deux parcelles bâties correspondent à cet édifice. Il s’agit de la demeure dite Château d’Autane, ancienne famille seigneuriale d’Allons, qui a probablement été lotie à la Révolution. Un linteau à accolade visible dans l’élévation ouest (réemploi ?) porte la date de 1740, entourée d’une inscription difficilement lisible. Le type de la façade et un chronogramme daté de 1881 indiquent une modification au cours du dernier quart du 19e siècle. Le toit pavillon d’origine, visible sur des clichés anciens du début du 20e siècle, a été remplacé et surélevé à la suite d’un incendie. La partie ouest de ce bâtiment a servi d’épicerie durant la première moitié du 20e siècle. Cette maison de maître est aujourd’hui divisée en plusieurs appartements.
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FAMILLE DE REQUISTON d’ALLONS 1096 – 1652
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LES MAITRES DE VAUCLAUSE 1289 – 1808
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FAMILLE D’AUTANE 1594 – 1837
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FAMILLE RICHERY 1342 – 1830
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Chronologie des évènements sur la commune d’ALLONS
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1070 – Donation de l’Église Saint Martin à l’Abbaye Saint Victor de Marseille ►
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1096 – 1098 – Première Croisade
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1252 – Salvain I de Réquiston
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1278 – Affouagement (Enquête) du Comte de Provence ►
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1531- Quand l’amour vire au meurtre…
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1589 Procès Réquiston / Durand François de Réquiston
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2 janvier 1670 – Tous parents !
Le second janvier mil sept cens septante est décédé Balthazar Pelegrin âge de septante cinq ans environ. Son corps a été enterré au cimetière de Saint Martin le troisième du même mois en présence d’Antoine Pelegrin et d’Honoré Pelegrin ses fils…….
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4 et 5 mai 1673 – Urgence absolue ! Jean Pelegrin et Catherine Réquiston
AD 04 – Actes paroissiaux – Série 1 1668 – 1790 – page 14
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28 novembre 1678 – Décès et inhumation au cimetière St Martin -Scipion d’Autane, coseigneur d’Allons
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29 mai 1679 – Le prieur est malade ! Honoré Bonnet
Le vingt neuf may mil six cent septante neuf, est décédée Marguerite Bonnefoy. Son corps a été enseveli au simetière St Martin d’Allons par Messire MARTEL, prieur de La Mure, moy étant malade, présent Antoine et Honoré PELLEGRIN… soussigné.
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7 septembre 1682 – Double mariage ! Joseph et Jacques Pelegrin avec Catherine et Anne CAUVIN
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26 novembre 1687 – Bénédiction de la cloche de St Martin et St Domnin
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5 juin 1695 – Baptême de Anne Marie d’Autane
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5 août 1695 – Naissance de « besonnes » – Claire et Elizabeth MAURIN
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14 mai 1698 – Décès à la cabane – Joseph Maurin, d’Angles
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21 juillet 1699 – Baptême de François d’Autane
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22 août 1700 – Inhumation dans l’Église – Bruno du Bourguet
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14 août 1709
1709 – Naissances de « filles gémèles » ; Thérèse et Marguerite Bérard
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14 octobre 1713
1713 – Inhumation dans le presbytère de l’église paroissiale – Jacques Durand, prieur-curé
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17 et 18 octobre 1714
Décès et inhumation de Jean Jacques d’Autane, coseigneur d’Allons
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8 février 1715
Découverte macabre sur le chemin d’Annot.
* Le prieur-curé Jacques DURAND était originaire d’Annot ; il fut en poste à Allons le 19 octobre 1699, jusqu’à son décès le 19 octobre1713
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30 janvier 1716
Chute fatale… : Denis Pelegrin
* Il y a de fortes chances que ce Denis soit le fils de Pierre Pelegrin, lieutenant la juge d’Allons de 1694 à 1716.
* Le prieur-curé est Antoine d’Ailhaud de Méouilles, qui officia à Allons pendant 38 ans, de 1713 à 1752).
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6 mai 1716
Décès du lieutenant de Juge, Pierre Pelegrin
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20 juin 1718
1718 – Une affaire embrouillée… Mariage Jean Bérard et Marguerite Pelegrin
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3 août 1719
1719 – Naissance quartier du Grand Adrech ; Antoine Martel
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7 février 1720
1720 – Mariage de Anne Marie d’Autane
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21 juillet 1722
1722 – Décès et inhumation de Marguerite de Rabier ; épouse Jean d’Autane
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14 septembre 1723
1723 – Mariage consanguin ; Etienne Pelegrin et Anne Pelegrin
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15 février 1724
1724 – Naissance de jumeaux – Marie Anne et Jean Baptiste Philip
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3 juin 1724
1724 – Naissance & Baptême de Jeanne Marie d’Autane
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24 août 1724
1724 – Naissance quartier Le Grand Adrech – Martin MAURIN
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24 et 26 août 1724
1724 – Naissance & Baptême de Jean Louis Alexandre de Richery
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9 avril 1725
1725 – Décès de Jeanne Marie de Montblanc, veuve de Jean Jacques d’Autane
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12 décembre 1725
1725 – Décès « exemplaire » – Jean Martel
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2 janvier 1726
1726 – Naissance et baptême de Jean Charles d’Autane
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4 janvier 1726
1726 – Naissance de jumelles – Marie Anne et Catherine Louise Pelegrin
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22 juillet 1726
Baptême différé – Anne Charlotte de Richery
* Le prieur-curé était Antoine d’Ailhaud de Méouilles, qui officia à Allons pendant 38 ans, de 1713 à 1752, avec une « coupure » d’une dizaine d’années pour cause de Jansénisme.
* Claire d’Aguillon, la marraine, avait épousé en 1667 Jean Hannibal de Richery ; ils étaient les grands-parents de la nouvelle baptisée.
* Le baptême « entre mains » consistait en une simple bénédiction, administrée par une personne qui n’appartenait pas forcément au clergé, qui pouvait être une femme (une accoucheuse par exemple), un membre de la famille (grand-parent, oncle….) et qui « parait au plus pressé » surtout en cas de danger de mort pour le nouveau-né, quand il ne pouvait pas recevoir le baptême proprement dit.
* Anne Charlotte (en fait Claire Anne Charlotte) fut une tante de l’Amiral Joseph de Richery ; elle décéda 4 ans plus tard, en 1730. (Voir cette année)
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11 septembre 1726
1726 – Accouchement avant terme – Françoise Cauvin
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26 juillet 1727
1727 – Décs de Jean Hannibal de Richery
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17 septembre 1727
1727 – Mort soudaine – Rose Isnard, d’Angles
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23 avril 1728
1728 – Inhumation dans l’église, sous le banc – Antoine d’Autane
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8 août 1729
1729 – Naissance & Baptême de Charles François de Richery
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1er avril 1730
1730 – Naissance et baptême – François d’Autane
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24 juin 1730
1730 – Décès et Inhumation de Charlotte de Richery « sous le banc »
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31 août et 2 septembre 1731
1731 – Naissance et baptême de Françoise Antoinette de Richery
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15 septembre 1732
1732 – Mariage d’une « Honette » fille – Catherine Dol
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1er janvier 1734
1734 – Inhumation dans l’église paroissiale – Françoise de HONDIS
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17 mars 1734
1734 – Naissance à la Bastide de La Forest – Élisabeth Maurin
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1737 Bilan
1737 – Bilan de l’année – Un prieur consciencieux ! Antoine d’Ailhaud de Méouilles
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7 février 1738
Naissance « Cujus patrem ignoramus »
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22 mars 1738
1738 – Naissance et décès à Pramuart – Jean Antoine Dol
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28 janvier 1739
Décès à Toulon – Jean Baptiste Cauvin
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30 novembre 1740
Bénédiction de la Chapelle d’Autane – Par Charles D’Autane et Antoine d’Ailhaud de Méouilles
* Charles d’Autane, né en 1680, décédé en 1758, était le fils de Jean Jacques d’Autane, co-seigneur d’Allons et de Jeanne Marie de Montblanc, et le frère de Jean d’Autance, également co-seigneur d’Allons. Il fut pro-vicaire d’Allons de 1728 à 1732, mais aussi prêtre et prévôt de Kosko, en Pologne.
* Le vicaire général du diocès de Senez, l’Abbé de Vocance, sera ultérieurement Evêque du même diocèse.
* Vu la signature, Jean Pierre Bonnet était peut-être consul d’Allons (« conseiller municipal »)
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24 décembre 1740
1740 – Dècès Jean de Soanen, ancien Evêque de Senez
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Janvier 1741
1741 – Confessionnal de la paroisse – Le prieur-curé se plaint…..
* Antoine d’Ailhaud de Méouilles, docteur en Sorbonne et en théologie ; il naquit vers 1674 et fut prieur-curé d’Allons pendant 38 ans environ, de 1713 à 1752 ; décédé en 1752, à l’âge de 78 ans, il fut inhumé à Allons, dans l’église paroissiale « près de la porte, en entrant à droite, auprès de la niche de St Domnin ».
* La « canne royale », ancienne mesure de longueur, équivaut à 1,25 mètres. Le « pan » (qui date du Moyen âge) équivalait à 24,8 cm.
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6 août 1741
1741 – Mariage recélébré – Jacques Béraud et Claire Pelegrin
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8 octobre 1741
1741 – Sacre à Amiens – Monseigneur de Vocance, Evêque de Senez
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19 novembre 1742
1742 – Décès de Claude Monge, maître chirurgien
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25 août 1743
1743 – Naissance & Baptême de Louis Gabriel Michel de Richery
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28 mai 1747
Lettre à l’Evêque de Senez – Par les consuls d’Allons
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4 octobre 1751
Inhumation dans l’église paroissiale – Françoise d’Henry
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5 octobre 1752
1752 – Inhumation d’Antoine d’Ailhaud de Méouilles, ancien prieur-curé d’Allons
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12 septembre 1753
1753 – Curieuse permission – Monseigneur de Vocance, Evêque de Senez
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26 mai 1756
1756 – « Sépulture ordinaire » – Honorade Cauvin
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12 et 13 décembre 1957
1757 – Naissance et Baptême de Joseph de Richery
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29 mars 1758
1758 – Décès de Charles d’Autane, prêtre
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Date : 8 et 9 septembre 1758
1758 – Décès et inhumation « sous le banc » de Marie de Richery
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27 mai 1759
« Privé du bon sens » – Claude AUDIER
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21 juillet 1759
1759 – Baptême de Charles Alexandre de Richery, archevêque d’Aix en Provence
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1761
Un bilan très précis ! Jean Joseph d’Ailhaud de Méouilles
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16 et 17 octobre 1766
Décès et inhumation d’un « véritable chrétien » : Mathieu Pellegrin
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11 juin 1768
1768 – Visite pastorale de Messire Antoine Joseph Damat, Evêque de Senez
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Début février 1769
1769 – Décès de François Cauvin à l’hôpital de Saint-Tropez
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7 décembre 1771
1772 – Inhumation de François d’Autane dans l’église paroissiale
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10 mai 1774
Décès de Louis 15
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9 septembre 1775
Bénédiction du tableau de l’oratoire
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22 août 1779
Mort du tonnerre – Jean Pierre Pellegrin, de Méailles
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1783
1783 – Année Terrible ???
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17 juillet 1783
Intempéries
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10 juillet 1785
1785 – Reliques de Saint Martin –
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Juin 1787
1787 – Césarienne post mortem – Brigide Pellegrin
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26 août 1788
1788 – Le prieur-curé fait de la généalogie ! Mariage Barthélémy Pellegrin et Marguerite Charlotte Blanc
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Septembre 1788
1788 – Baptême différé – Marguerite Louise Marie Pauline d’Autane
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20 et 21 septembre 1789
1789 – Décès et Inhumation (en grande pompe !) d’Étienne Béraud
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21 octobre 1789
1789 – Décès à la Martinique – Jean Baptiste BONNET
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5 septembre 1790
1790 – Décès et inhumation de Elisabeth Sisteron
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16 mai 1823
1823 – Ordination de Charles-Alexandre de Richery
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24 décembre 1824
1824 – Naissances exceptionnelles chez les Cauvin
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4 janvier 1898
1898 – Un citoyen peu recommandable
Joseph Désiré Pellegrin (Allons 1837 – Saint Laurent du Maroni – Guyane française 1898)
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10 septembre 1944
Exécution de Charlot Félix Béraud
Instituteurs, Institutrices et autres enseignants…
Les lieutenents de juge d’Allons
Si nous nous plongeons dans les Actes Paroissiaux du village d’Allons, c’est-à-dire entre 1668 et 1790, nous allons être amenés à faire la connaissance d’une fonction qui n’existe plus aujourd’hui.
Il s’agit du LIEUTENANT de JUGE, dénommé aussi LIEUTENANT DE(S) CHÂTELAIN(S) ou encore BAILLE.